"L’affaire DSK", lieu de projection de fantasmes multiples, se présente comme un révélateur d’une série de processus désagrégateurs à gauche.
Si, dans le versant américain de "l’affaire DSK", les préalables rituels sur "la présomption d’innocence" et sur le respect de "la présumée victime" ont souvent été formellement répétés, nombre de commentateurs, le plus souvent de manière implicite, n’ont guère tenu sur la double qualité d’"accusé" et de (...)