En juillet, les syndicats belges avaient vivement réagi à la « note » d’Elio Di Rupo, sorte de « feuille de route » qui sert de base de négociation aux huit partis qui tentent de former un gouvernement. Pour eux, il s’agissait d’un « coup de massue » doublé d’un « coup de barre à droite », d’autant plus douloureux qu’il venait du chef du Parti socialiste. « Inacceptable », avait déclaré, sans appel, la secrétaire générale de la Fédération générale des (...)