Après la CIA et ses « bijoux de famille » qui n’en avaient que le nom, c’est au tour des services secrets allemands (BND) de faire le ménage dans leurs archives. Outre-Rhin, la presse a passé au crible les neuf cents pages de documents déclassifiés. Nauséabond et affligeant. Ainsi apprend-on, dans l’hebdomadaire Der Spiegel, que le BND a eu recours aux « offices » de Walter Rauff. Un nazi notoire, qui plus est responsable de crime contre l’humanité. Ce dignitaire SS, (...)