Ils disent que nous sommes des perdants, mais les véritables perdants sont là-bas à Wall Street. Ils ont été sauvés avec des milliards de notre argent. Ils nous appellent des socialistes, mais il y a toujours du socialisme pour les riches. Ils disent que nous ne respectons pas la propriété privée, mais lors de la crise financière de 2008, plus de propriété privée durement acquise a été détruite que tout ce que nous aurions pu détruire nous mêmes en nous y consacrant jour et nuit pendant des (...)