Le courant altermondialiste et antilibéral se porte mal, très mal. Après la crise d’ATTAC plus ou moins maladroitement, et pas tout à fait, dépassée, c’est l’échec de la tentative de la nomination d’un « candidat unitaire » de l’antilibéralisme pour les Présidentielles.
L’unité apparente n’était en fait qu’une unité de façade, fondée sur des mobilisations et des résultats électoraux conjoncturels et hétéroclites. La pratique des organisations (...)