Au moment où il avait prévu son déplacement à Madrid, sûrement Sarkozy pensait-il pouvoir fanfaronner :
D’un côté, la crise était en voie d’être résolue grâce à sa super-activité avec Merkel, à eux deux, ils sauront y mettre fin.
De l’autre, l’Espagne, grâce à Rajoy, élu sur fond de déroute de la politique du PSOE (qui rappelons-le a voté la règle d’or et a conduit une politique d’austérité à la sauce Papandréou- Plan de 50 milliards d’euros (...)