Le raid s’est déroulé mercredi 29 février, à 2 heures du matin, en toute discrétion et impunité. Les Jeep et véhicules blindés israéliens, avec à leur bord une quarantaine de soldats, techniciens du ministère des télécommunications et agents du Shin Beth (le service de sécurité intérieure) ont foncé dans les rues désertes de la capitale du non-Etat palestinien. La ville dormait, ils n’ont pas rencontré âme qui vive et, de toute façon, les Ramallahwis s’écartent au passage (...)