La nouvelle polémique du jour, celle qui oppose Nicolas Sarkozy à François Hollande au sujet de la fête du 1er Mai, pourrait apparaître comme une simple péripétie de la campagne présidentielle. Une péripétie secondaire, au regard des grands enjeux de l’élection, ceux qui ont trait à l’avenir d’une Europe en crise ou à ceux d’une France rongée par le chômage et la précarité. On aurait tort pourtant de ne pas s’y attarder.
Car dans sa folle équipée pour draguer (...)