mercredi 12 septembre 2012
par GUILLAUME BEAULANDE, PG
Un coup d’état, quelle que soit sa forme, à l’instar de celui qui s’est déroulé le 22 juin dernier au Paraguay n’est jamais seulement un coup d’éclat, c’est une onde de choc dont les répercussions sont désastreuses pour le peuple. Au Paraguay, il s’agit d’une rupture du processus démocratique, malgré les apparats constitutionnels, mais c’est aussi un système tout entier dominé par l’oligarchie agro-industrielle et la logique (...)