Le Congrès hondurien, l’un des protagonistes du coup d’état de 2009 contre le président Manuel Zelaya, ne cesse, depuis ce temps, de voter des lois au service du capital étranger, dans un pays devenu l’épicentre du trafic de drogue en Amérique centrale et l’un des endroits les plus violents sur la planète.
Ce constat de l’Organisation fraternelle des noirs du Honduras (OFRANEH), paru dans un communiqué du 28 janvier dernier, n’est vécu nulle part (...)