La conférence sur l’évolution du climat s’est close hier à Paris sur un constat : nous sommes, à 90%, responsables de ce qui nous arrive.
L’étau se resserre sur le coupable. "Très probablement", c’est-à-dire à 90%, l’homme est responsable du réchauffement climatique que nous vivons depuis le début de l’ère industrielle et de son accélération ces vingt dernières années. C’est aussi lui (nous) qui avons grippé la machine de telle sorte que les 100 (...)