Jean-Louis Marçot a publié récemment un ouvrage, Comment est née l’Algérie française (1830-1850). La belle utopie (éditions de la Différence, 2012), où il se penche sur « les alibis idéologiques de l’entreprise coloniale française [1] » en Algérie.
Dans l’entretien repris ci-dessous, qu’il a accordé à Mémoires algériennes, il revient sur son passé familial pied-noir.