Tous les partis qui s’échangent avec complaisance le pouvoir sur le dos des français(e)s, traînent des casseroles. Qu’elles soient politiques ou dues au fric, les « affaires » rattrapent inévitablement ceux qui servent la finance, la consommation à outrance et le productivisme.
Le FN veut se situer ailleurs. Sa présidente reprend souvent le slogan de Samuel Maréchal(1), ancien responsable du FNJ : « ni de gauche, ni de droite »(2). Etonnant vu les désistements en faveur de (...)