Le 30 janvier 2007, Nicolas Sarkozy est venu en territoire conquis : Londres-la-néolibérale n’avait d’yeux que pour le candidat de la "rupture". Ce jour-là, il a été reçu en grandes pompes par Tony Blair, l’homme de la "gauche moderne" dont les dix années de gouvernement ont consolidé la révolution thatchérienne. Dix années pendant lesquelles la Troisième voie blairiste a fait le "bonheur" des Britanniques :
privatisation des services publics par l’entremise des (...)