Les cinq syndicalistes de Roanne ont été trainés devant la justice pour avoir simplement graphité un mur lors du grand mouvement contre la réforme de retraites de 2010.
En appel, le tribunal de Lyon a jugé leur geste tellement anodin qu’il s’est "contenté" de les déclarer "coupables" mais sans exécution de peine.
Et pourtant, ils ont reçu, comme de vulgaires criminels, la convocation pour se soumettre à des tests ADN le 22 mai. Test qu’ils ont bien sûr immédiatement dit (...)