Le Front de gauche a le devoir d’ouvrir ses portes et ses fenêtres s’il veut être à la hauteur de la responsabilité qui est la sienne : être un outil au service du peuple pour construire une alternative politique. Ce sera notre tâche après les échéances électorales. D’ici-là, un impératif unique : le souffle irrépressible de l’unité.