70 ans après la découverte du génocide de plus de 6 millions de juifs et de 300 000 Tsiganes, dire l’horreur est indispensable. Mais pour prévenir les abominations de demain, la mémoire doit s’accompagner d’une réflexion toujours plus solide, étayée, sur les voies que peut emprunter l’inhumanité.
« Ce que nous avons vu dépassait tout ce que nous avions connu jusque-là. Imaginez une peau tendue sur des os et les yeux, surtout les yeux. C’était effrayant. Sur (...)