Il n’est pas douteux que le fait de tenir publiquement compte des plaisirs sensuels tels qu’on les entendait au moyen âge, impliquait pour l’instinct naturel inné à tout être sain et mûr la reconnaissance du droit de se satisfaire, et cela constituait une victoire de la saine nature sur l’ascétisme chrétien. D’autre part, il faut toujours constater à nouveau que cette reconnaissance d’un droit et la faveur d’en user ne profitaient qu’à un seul (...)