L’actualité en témoigne, sur 17 000 entreprises de 5 à 100 salarié-e-s qui changent de propriétaires chaque année, nombreuses sont celles qui sont reprises par des acquéreurs dont la préoccupation première est l’accroissement de leur marge au détriment de l’emploi, par le racket du savoir-faire et la délocalisation.