Mais que s’est-il passé dans la nuit du dimanche 11 au lundi 12 juillet ? Qu’est-ce qui au final a poussé Alexis Tsipras à apposer sa signature en bas d’un texte aux conditions « plus dures que celles négociées avant le référendum du 5 juillet » pour reprendre le qualificatif de Mediapart ? La peur du saut dans le vide après un chantage éhonté au Grexit de la part de Berlin ?