Contribution à la réunion du 24 mars 2007
Quel que soit le résultat final de la séquence électorale de 2007, nous pouvons être quasi certains que nous entrerons dans une phase tumultueuse de recomposition politique. La crise est trop forte, elle affecte trop le coeur des institutions, elle bouleverse trop la dynamique de la gauche et de la droite pour que l’on puisse longtemps différer la réorganisation de tout le champ politique. Que nous le voulions ou non, c’est cet (...)