Fin octobre 2015, un rapport publié par l’université Yale a jugé qu’il existait de « solides preuves » pour dire qu’un génocide est en cours contre les Rohingya : viols, meurtres, restrictions imposées sur les naissances et instauration de conditions ayant pour conséquence de détruire le groupe (vie dans des camps, privation de nourriture, de soins…).