Si le Front national se fait très discret sur l’économie sociale et solidaire, c’est qu’il lui préfère l’économie des sociétés de capitaux, une économie « sérieuse » dans laquelle il y a des dirigeants – ceux qui ont de l’argent et méritent d’être encore subventionnés, quitte à privilégier leurs actionnaires – et des dirigés, les « sans-grades » que ce parti prétend paradoxalement défendre.