Alors que les faibles taux d’intérêt sont propices au développement des politiques d’investissements publics et alors que les profits réalisé s par les grosses entreprises ont été considérables, et sont essentiellement redistribués sous forme de dividendes, les investissements dans l’appareil productif sont en recul depuis des années provoquant ainsi une stagnation de la croissance et une massification du chômage.