« ... Je constate que du temps du protectorat français les opposants, Bourguiba en tête, avaient le pouvoir de s’exprimer. Ils avaient des associations, des partis, des syndicats et des journaux. Loin de moi l’idée de faire l’apologie du colonialisme, mail il faut constater qu’aujourd’hui nous n’avons plus rien de tout cela. »