Nous sommes entrés dans l’ère des mutations politiques indigentes qui forcent les politiques à jeter les masques et à révéler leur visage de trafiquants, de délinquants, de fascistes, d’inculpés, de vendus, de criminels, d’opportunistes, de corrompus et d’hommes au service d’intérêts privés. Cette effervescence politique distille les relents d’une pourriture sociale.