Après Paris et Madrid en 2015, Copenhague en 2016 et Rome en mars dernier, ce moment poursuivra la construction d’une alternative « revendiquant la démocratie pour les peuples d’Europe et affirmant la coopération démocratique et la solidarité comme alternative au déficit démocratique et social imposé par le traité de Lisbonne il y a dix ans ».