Ceux qui ont trahi leurs idéaux de jeunesse trouvent généralement comme excuse qu’ils ne sont pas les seuls, que c’est une évolution normale. Ils se trompent. Des révolutionnaires qui continuent de croire à l’édification d’une société libre et sans classes, ni riches ni pauvres, il y en a encore. Pour eux Mai 68 n’est pas mort.