L’évènement du 26 mai, « la marée populaire », déclenchera une onde de choc. Son existence même est un défi contre l’autosatisfaction des macronistes. Eux ont besoin d’un paysage banalisé et morose pour parvenir à isoler et brutaliser le mouvement des cheminots. Car les gouvernants s’inquiètent et manœuvrent. Ils reculent. Font-ils semblant de le faire pour mieux duper ensuite tout le monde ?