En 2013, Clément Méric, jeune antifasciste de 18 ans, mourrait sous les coups de militants nationalistes, dévoilant au grand public la violence de ces groupes d’extrême droite. Cinq ans plus tard, le nombre d’agressions commises par cette mouvance d’ultra-droite se compte toujours en dizaines chaque année, en France et en Europe.