Finalement, ce n’est pas Jupiter, mais Janus le petit : il est le mauvais président des pauvres et en même temps il est le bon président des riches. Deux visages pour un même personnage. Il se croit être essentiel à un pays « qui s’ouvrirait et se fermerait à sa volonté, sans que rien ne lui échappe » (2).
En effet, derrière « une vision, un récit, une volonté », il n’y a qu’une volonté de puissance en mission.