Plus de 130 ex-lycéens engagés dans les “mouv” en 1968, 1977, 1986, 1990, 1994, 2000, 2005 ou 2013 (des comités d’action lycéens à la mobilisation en défense de Leonarda, en passant par les lois Saunier-Seïté ou Devaquet, ou encore le CPE) se disent « inquiets » face à « l’étape franchie » aujourd’hui en matière de répression et de liberté de manifester des lycéens actuellement mobilisés.