Les condamnations formelles de cette répression émanent autant d’institutions comme le Défenseur des Droits, Amnesty International ou la Ligue des Droits de l’Homme que d’ONG, de syndicats, de magistrats, de collectifs citoyens, d’associations, de responsables politiques, d’intellectuels, d’anciens gradés de l’armée ou de la gendarmerie, de journalistes indépendants ou de la presse étrangère.