Réunis dans un collectif baptisé « des 34 de la Pitié », une partie des interpellé·e·s de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière a livré samedi sa version des faits des événements du 1er Mai, lors d’une conférence de presse. Ils disent avoir été victimes d’« abus de pouvoir » et de « violences psychologiques » lors de leur trente heures de garde à vue.