Les animaux des élevages intensifs ne sont plus que de la marchandise, dont il faut tirer le plus possible, pour vendre le plus possible, en résumé : être profitable. Les fermes-usines s’agrandissent : 1 000 vaches, 20 000 cochons, 200 000 poulets. Cela implique une organisation du travail qui néglige la souffrance, répand des maladies par la promiscuité, et acte l’impossibilité matérielle de prendre soin du vivant.