Le racisme ouvertement libéré dans les professions de la sécurité en est un signe. Ne prenons pas non plus pour des broutilles les milices de génération identitaires à Lyon ou l’attaque du Bar Saint-Sauveur à Paris par le GUD : l’extrême droite se déploie toujours par la violence en même temps qu’elle prétend résoudre la crise sociale. Depuis quelques années elle s’organise, se répartit les rôles et s’arme. Face aux sirènes des lendemains bruns, organisons les résistances populaires.