Printemps 2002. La droite décline son programme économique sous forme de slogans : il s’agit de « libérer les énergies », « réhabiliter le travail », « baisser les impôts et les charges ». L’UMP revendique alors son « pragmatisme » et demande à être « jugée sur ses résultats ».
Comme il l’a fait chaque année, le Parti socialiste dresse ici le bilan de quatre ans de gestion de l’UMP. Cet exercice fait apparaître une situation économique, budgétaire et fiscale très (...)