Tout au long des années 2000, la justice italienne a choisi de ressusciter « une dispositions du code “Rocco” de 1930, donc de l’époque fasciste qui crée un délit de « dévastation et pillage ». Ce "délit" établit une responsabilité collective des manifestants. Nul besoin de commettre les actes incriminés. La présence sur les lieux suffit à établir la culpabilité...