Au nom du pragmatisme en matière de lutte antidopage, considérant qu’ "un sport parfaitement propre qui exclurait le dopage est un idéal inatteignable, un peu similaire à l’idéal d’une société sans drogue", le chercheur suisse Alexandre Mauron prônait dans nos colonnes une politique de réduction des risques, comme l’a fait la Suisse à l’égard des drogues illicites (voir sur ce site rubrique SOCIETE, Sous-rubrique SPORT).
Impossible de renoncer à se battre, (...)