« J’ai vu mon père mourir lentement de faim, nous dit Rudel, un combattant de quatorze ans. De faim et de désespoir, car quelle que soit sa peine à l’ouvrage il savait que nous serions toujours affamés. » Il travaillait la terre pour en tirer des patates douces ; mais si le sol ingrat de ces montagnes pouvait parfois se montrer généreux, le propriétaire, lui, ne cédait jamais.”