Le drame quotidien des livreurs à vélo, esclaves des plateformes type Ubereats, Deliveroo, Frichti s’étend tous les jours… Deliveroo s’est permis d’abaisser de 5 euros à 2,60 euros chaque course et d’inciter à la prise de risque. Pour survivre, il faut un rythme de travail infernal. Pas de contrat de travail, ni protection sociale, ni cotisation retraite, ni droit à chômage, pas d’indemnisation ni couverture des frais médicaux