La méthode de la « post-vérité » et du « journalisme de division » théorisé outre-Atlantique, a été assez bien illustrée par cette opération de pur dénigrement (« bashing ») montée contre moi ce dimanche. Pourtant, quatre journalistes sur ce plateau n’avaient rien vu à reprendre de mes propos, ni pendant l’émission, ni après, ni depuis.