La destruction de masse survenue en Indonésie à partir d’octobre 1965 fait assurément partie de ces catastrophes « oubliées », faisant de l’immense Indonésie elle-même, quatrième pays le plus peuplé au monde et malle au trésor – de matières premières, de main-d’œuvre – une sorte de non-lieu, ou de sous-entendu de la mondialisation capitaliste.