Le dimanche 10 avril, je ne veux pas qu’on ait de regrets. Que tout soit fait pour emmener le candidat de gauche au second tour, qu’on ait droit à un débat Macron-Mélenchon, que ça cause de santé et d’égalité, plutôt que d’insécurité et d’identité. Un bulletin, c’est comme un tournevis : c’est un outil, ça peut servir de levier, on te demande pas de l’aimer.