Si la libre circulation des armes aux États-Unis a été immédiatement mise en cause, c’est la dimension raciste de l’attentat qui s’est rapidement imposée. Comme Brenton Tarrant, qui avait tué 51 personnes dans deux mosquées de Christchurch (Nouvelle-Zélande) le 15 mars 2019, Payton Gendron n’a en effet pas fait mystère des motivations politiques de ses actes.