En France la lutte contre le crime organisé n’est pas une grande cause nationale. On préfère agiter sans cesse les thèmes de l’insécurité à connotation raciste. Sans oublier le contrôle aux faciès, la maitrise armée des refus d’obtempérer et le gazage bien facial en général. Ce n’est pas une raison pour lâcher prise. Il ne doit pas nous suffire de répéter notre credo en matière de police à ramener aux principes et méthodes républicaines.