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Elle s’appelait Maria-Annick. Les gens qui l’aimaient l’appelait Marie. Moi, je l’appelais maman. Marie n’a pas connu la retraite, son corps a lâché avant. Les dernières semaines, elle répétait en boucle, avec la rage de celle qui ne veut pas mourir : « C’est le travail qui m’a rendue malade ».