C’est une phrase prononcée au sein de l’Assemblée nationale qui n’a pas fait beaucoup de bruit mais qui pourrait avoir quelques conséquences fâcheuses pour le gouvernement. Vendredi 17 février, à l’occasion d’un rappel au règlement, le député socialiste Jérôme Guedj se lève de son banc et prend la parole. Il rappelle que, la veille, en sa qualité de vice-président de la mission d’évaluation et de contrôle de la sécurité sociale (MECSS), il a poussé la porte de la direction de la Sécurité sociale. Le député de l’Essonne voulait comprendre quelles seraient les retraites concernées par la hausse des pensions