Violences sur le lieu de travail, cumul de discriminations, travail peu reconnu et sous-rémunéré : c’est le lot des femmes et des minorités de genre dans une société patriarcale et capitaliste. Pour le 8 mars, la coordination féministe exhorte à la grève féministe, c’est-à-dire « l’arrêt du travail productif et reproductif », et à descendre dans la rue, à organiser des gardes collectives et des cantines solidaires pour la création d’un « mouvement large et uni ». (...)