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Nos concitoyens qui financent par leurs impôts le ministère de l’intérieur et donc la police mais aussi la gendarmerie doivent pouvoir connaître dans un régime démocratique et républicain digne de ce nom, les dysfonctionnements, dont les violences policières font parti, de ce service public. L’absence de transparence sur cette question qui a aussi des incidences sur le financement par les contribuables du ministère de la santé publique du fait des traumatismes et les blessures induites, est le symptôme d’une démocratie en décomposition